La première journée des Etats généraux du cinéma itinérant, qui se sont tenus à Arras début novembre, s'est conclue par la projection du documentaire de Bruno Lajara*: "Ce sentiment d'inachevé brûle nos yeux humides".
Un docu-fiction, plus exactement, qui retrace le parcours de dix jeunes de la "classe départ" de Béthune, un dispositif porté par l'association l'Envol qui utilise l'art comme levier de transformation et d'inclusion sociales.